A l’annonce de l’action concoctée pour Brussels Airlines par Emakina, je me suis souvenu que Second Life existait. Est-ce le but ?
Là mon esprit s’est encore une fois demandé pourquoi une marque tente-t-elle d’exister dans un monde difficile d’accès ? Pourquoi celui-là et pas ceux-ci ou celui-ci ou encore celui-là ? Au-delà d’une campagne d’image et d’une preuve de maîtrise, quel impact peut-on espérer d’un univers particulier qui semble s’essouffler?
Je dis ça puisque les stats d’échanges commerciaux de la plateforme sont en baisse en mai, que par exemple Loïc Lemeur n’a pas touché un mot sur le sujet depuis 2 mois sauf pour donner à voir la galerie du New York Times consacrée aux avatars.
Comme je me suis souvenu que Linden communiquait ouvertement sur les stats de ses services et en trouvant j’ai eu la bonne surprise de voir que cette communication était plus précise qu’avant. Depuis ce mois, il est possible de voir par origine géographique qui est actif dans l’univers second.
En se positionnant sur Second Life une marque peut donc espérer toucher 6330 des 10457000 de Belges, 39727 des 64102140 de Français, 82 des 4099000 de Libanais, 4080 des 1318818000 de Chinois et 130033 des 302132000 d’Uèssiens, respectivement des cacahouètes… hormis le buzz que ce positionnement génèrera. Est-ce donc l’écho du message ou le message qui prime ? Questionner n’est-ce pas répondre et propager ?
Je pense que c’est une publicité qui a trouvé un moyen de cibler les « clients potentiels ». en effet, je pense que sur les 39727 français qui sont sur ségond life, la part de personnes suceptible d’être client chez Brussels Airlines est plus elever que sur la totalité des français.
Donc ça leur revient surement moins cher par client récolté.
Des chiffres éloquents!!!
Et si Loïc n’en parle pas, c’est que ça n’existe pas, c’est bien connu 😉
Bien noté Denis. On a déjà entendu ces remarques sur d’autres actions similaires par d’autres marques … il y a six mois voir un an dans le monde anglo-saxon … on peut appeller ceci un effet doppler de la communication : waaaaaooooooouuuwwww : la déflagration a enfin atteint nos rivages belgistans francophones. On risque encore de dire que nous sommes des mauvaises langues. Tssst!