Alex détaille très positivement les choix éditoriaux qui font effectivement de la lecture du Vif 2.0 (sic) un vrai plaisir. La même expérience est conduite par le groupe Roularta pour le Knack son fleuron néerlandophone. Le groupe de presse fait usage d’une solution technique mise en oeuvre par Publitas.
Si la pertinence des choix éditoriaux, la qualité de la mise en oeuvre qui permet un bon mix entre facilité de consultation du contenu (on feuillète un magazine) et visibilité publicitaire ne font pas question, l’expérience web de l’utilisateur final est très perfectible.
- Syndication ou alerte pour le suivi des mises à jour sont inexistantes.
- L’impossibilité de lier vers une page ou un article précis plutôt que vers la une du magazine, ne permet pas de faire référence à des points précis et d’ouvrir la porte au débat.
- La une qui n’est pas cliquable et qui finit de confirmer que transposer l’expérience linéaire de lecture d’un magazine sur le web, fut-il augmenté de vidéos ou de son, n’est pas si novateur que cela.
En cherchant des commentaires, réflexions sur ce projet j’ai découvert un slideshow récent émanant des groupes de recherche sur le futur des médias en Europe (projet FLEET, etc). Un résumé des évolutions techniques du milieu en 20 slides.
Une réflexion sur « Roularta et les magazines 2.0 »