La nouvelle version du site LeSoir.be est en ligne. 2 changements majeurs, la charte graphique et les commentaires d’articles.
Pour ce qui est des commentaires, sous l’impulsion des sites d’info du web (skynet.be, 7sur7.be) puis des médias audio-visuels (rtlinfo.be) voici que la presse traditionnelle s’ouvre à la réaction 😉 . Cela mérite d’être salué. Les journalistes se mêleront-ils au vulgum pecus, le surfeur moyen tirera-t-il le débat vers le haut ou plombera-t-il le site sous les spam, injures et abus ? Nous verrons.
Le quotidien phare du groupe Rossel reprend aussi à son compte la théorie du bimédia, popularisée par Libération en octobre 2005, une rédaction écrit pour 2 supports, fait usage de tous les formats possible. Les commentaires des lecteurs vont plutôt dans le sens du il était temps que de la surprise enchantée, gage d’une attente forte et d’une éducation aux média riches qui laisse présager d’un beau succès pour le quotidien bruxellois.
Autre remarque pour l’instant la splash page semble ne pas être activé. Défaut de vente, choix pour le lancement ?
On regrettera seulement pour un lancement annoncé en Une de l’édition papier de la veille et malgré les expériences des rushs électoraux de ces derniers mois que la bande passante du site ne suive toujours pas son succès.
Il faut aussi, je pense, souligner l’effort pour l’accessibilité. C’est deja beaucoup mieux, mais il reste encore du boulot.
C’est juste moi ou le nouveau site est vraiment super lent?
La splash est bien présente … et l’accès aux pages est d’une lenteur surprenante (voir le nombre d’erreur 500 qui se produisent).
C’est assez marrant de voir le format du blog contaminer l’ensemble des médias traditionnels.
Pour la qualité des discussions, on n’échappera pas à la métaphore du bon vieux café de quartier où la grande gueule du cafetier joue souvent pour une grande part dans l’esprit que l’on y trouve et le plaisir qu’on peut avoir à y pratiquer les bonnes vieilles discussions de café.
On verra bien comment les journalistes participeront aux discussions avec le vulgum pecus que nous sommes.