Tous les articles par Denis

La Presse.be & De Pers.be

La Presse Bricolés sur des domaines que je n’avais pas véritablement exploités vu le sort réservé à Google News en Belgique, LaPresse.be & DePers.be proposent une vue agrégée et personnalisée des articles émanant des sites des journaux les plus partagés sur facebook par votre réseau d’ami.

Inspiré du site LikeButton.Me centré sur les sources US, je vais utiliser le concept pour faire le tour des Social plugins mis à disposition par Facebook.

De PersUn premier jet de ce que pourrait être des sites de recommandation et ou d’analyse des centres d’intérêt de son réseau social.

Le projet est à suivre et ouvert à toute idée, recommandation.

Merci à Kim pour ses traductions.

Open Graph, Like et WordPress

Facebook connect est amené à disparaître, le nom pas les fonctionnalités qui seront reprises par Open Graph.

Des plugins permettant une intégration en deux clics seront sûrement dispo sous peu, mais si vous ne voulez pas attendre et intégrer le « Like » sur votre blog WordPress je vous propose de suivre la procédure que j’ai appliquée pour y arriver.

J’ai lu les 3 pages de documentation suivantes

J’ai donc modifié dans mon template header.php pour définir les namespaces og & fb et y déclarer des variables

<html xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml" xmlns:og="http://opengraphprotocol.org/schema/"
      xmlns:fb="http://developers.facebook.com/schema/" xml:lang="fr" lang="fr" dir="ltr">

<meta property="og:title" content="< ?php wp_title('»',true,'right'); ?>" />
<meta property="og:image" content="http://www.balencourt.com/favicon.gif" />
<meta property="og:type" content="blog" />
<meta property="og:site_name" content="<?php bloginfo('name'); ?>" />
<meta property="og:description" content="<?php bloginfo('description'); ?>" />
<meta property="fb:admins" content="501610755" />

Veillez à avoir une image de taille raisonnable (50x50px) pour og:image qui est l’illu employée lors d’une publication d’un lien sur le mur d’un visiteur.

J’ai intégré dans footer.php de mon template l’appel au SDK Javascript (copié/collé du code) et j’ai utilisé l’ID de l’application liée à mon blog (héritage de Connect) en modifiant seulement cette ligne :

FB.init({appId: ‘your app id’, status: true, cookie: true, xfbml: true});

J’ai intégré dans le Loop index.php (sous chaque post) et single.php (entre les posts et les commentaires) le code suivant :

<div class="like>
       <fb :like href="< ?php the_permalink() ?>" layout="standard" show_faces="true" width="715" action="like" colorscheme="light" />
</div>

Et le résultat c’est un bouton Like en dessous de chaque note et la possibilité de poster un commentaire en lien de la note sur votre Wall.

Si vous aimez, il suffit de cliquer 😉

FlowTown ou l’email marketing avec une dimension sociale

flowtown logoJ’ai découvert FlowTown via un mail d’Ethan Bloch son fondateur.

J’ai testé, débuggé et donné du feedback et surtout j’ai retenu le nom de cette start-up US.

FlowTown se propose de transformer toute adresse email en un profil sur un réseau social.

La promesse est tentante à l’heure où la fatigue pour l’email marketing est maximale et où les experts e-commerce théorisent sur les bonnes pratiques du désabonnement (via @vansnick), ce momentum est aussi celui où les marques suivant le rush massif des PME sur Facebook tentent le trust de l’attention sur les réseaux sociaux et se lancent dans le social media marketing.

Transformer sa newsletter en « social emails » ça sonne aussi bien que permission based marketing en 2002.

FlowTown propose donc de segmenter son listing d’emails en fonction des réseaux sociaux sur lesquels ces mails sont utilisés.

Histoire d’encourager qui à devenir un follower d’un compte Twitter pro, qui une page Facebook dédiée à la relation client ou à la promotion des produits d’une marque.

Ce service, cette valeur ajoutée a un prix. Il vous en coûtera 5 cents par adresse importée et un abonnement dès que vous dépassez les 250 emails/mois.

Par sa force de segmentation FlowTown est un outil prometteur du social marketing et de la conversion des destinataires d’un email en membres d’une communauté visible et potentiellement virale sur un réseau social.

Comment gérer ses amis sur le nouveau Facebook

Mise à jour pour refléter les modifications d’interface qui ont eu lieu depuis la publication du vade-mecum qui renseignait Comment gérer ses amis sur Facebook.

Il va vous apprendre à créer une liste d’amis et à l’utiliser pour bloquer l’accès à certaines de vos infos aux membres de cette liste.

Cliquez sur le menu Account en haut à gauche

Un drop down s’affiche cliquez sur le lien « Edit friends » du menu

Edit friends

Au sommet de la page vous pouvez créer des listes d’amis en cliquant sur le bouton suivant

button create new list

Nommer la liste et sélectionner ceux de vos amis qui en font partie

create new list

Libre à vous d’utiliser la classification qui vous sied, personne ne saura jamais si vous avez une liste « Ecole Primaire » et/ou « Nuisibles », le but est de mettre certains de vos amis dans le même sac pour vous assurer que les membres d’un groupe n’ont pas accès à vos photos, votre wall, votre status…

Deux manières de procéder soit au coup par coup, ami après amis, soit via une sélection multiple. Dans le deuxième cas songez à sauver votre liste, sa mise à jour n’étant pas sauvegardée automatiquement.

Une fois que la liste est complète et sauvegardée, cliquez à nouveau sur Account et dans le menu déroulant sur « Privacy Settings »

privacy settings

Cliquez le lien « Profile information»
profile information

Pour chacun des éléments repris sur la page vous pouvez définir qui à accès ou non à l’info. A savoir votre profil, vos infos de base, vos infos persos, vos photos & vidéos, votre status, etc…

Des valeurs par défaut peuvent être utilisées ou bien vous pouvez personnaliser votre choix, c’est ce que nous allons faire. Cliquez sur « Customize… »

customize

Une fenêtre s’ouvre qui vous permet de définir qui ne peut pas avoir accès à ces infos. Choisissez votre liste mais vous pourriez aussi choisir une seule personne.

custom privacy

Reste à sauvegarder votre choix et à continuer à mener une vie paisible.

WIF

Gilles Bazelaire de Dogstudio m’a proposé de participer au Keynote d’ouverture du WIF.

Il s’agissait de faire une présentation sur le mode du Pecha Kucha, la version ignite.

Je sais c’est abscons 🙂

Mais en fait c’est simple, pour sortir du train train de la présentation Powerpoint de base il est demandé aux intervenants de présenter 20 images à la suite pendant 15 secondes, durée maximal d’une speech 5 minutes.

Cet exercice était une première pour moi, la partie la plus difficile étant la recherche et sélection d’images au format idoine.

Un petit truc à garder en mémoire pour une prochaine participation, il est possible de spécifier le format des images recherchées dans Google grâce au paramètre imagesize:LARGEURxHAUTEUR où l’on peut définir la valeur numérique de largeur et hauteur. Dans ce cas-ci c’est super pratique, voir l’exemple de la muraille de Chine.

Ma présentation s’intitulait « Un petit Monde compliqué » et tentait de rappeler au public présent que malgré des dehors de facilitation de l’accès à l’information et de rétrécissement du monde, le web en 2010 reste un lieu diversement accessible, soumis au multilinguisme, éveillant les appétits de sociétés dont les objectifs sont diamétralement opposés et qui bâtissent des forteresses plus que des rhizomes et que ces démarches bouleversent la structure de la société et questionnent notre rapport à l’intime.

Pour conclure je voulais faire entendre aux étudiants majoritairement présents dans l’assemblée qu’ils allaient être amenés à jouer les fils d’Ariane dans ce labyrinthe numérique pour bon nombre de leurs clients et employeurs dans les années à venir.

Un message d’espoir en somme.

Merci à Valentin Bouttiau pour sa vidéo