Archives de catégorie : twitter

Le buzz des sociétés du BEL20 sur Twitter

En faisant usage du moteur de recherche de twitter et des Yahoo! Pipes pour agréger et filtrer le tout, voici un flux RSS du buzz des brands du Bel20 sur le site qui grimpe qui grimpe…

J’ai limité la recherche aux usagers belges.

La liste des flux RSS des résultats de recherche par société

Anheuser-Busch InBev
Delhaize Group
GBL
GDF Suez
Belgacom
Colruyt
Solvay
Fortis
UCB
Mobistar
Umicore
KBC Group
NPM/CNP
Dexia
Cofinimmo
Ackermans & van Haaren
Befimmo-Sicafi
Telenet Group
Bekaert
Omega Pharma

Diffusion de l’information à l’ère de twitter

Depuis 3 mois tout le monde parle de real-time web, Dave Winer aujourd’hui dissèque les avantages de twitter face à Google (rien que ça). Moi je préfère faire un bon petit graphique mâtiné de longue traine pour faire clair.

news_spreading_at_twitter_age

Comme les twitereurs dont je suis friand disent que les petits bonshommes ne sont pas clairs immédiatement, ils représentent l’impact en terme de personnes touchées par un média. La courbe orange c’est donc vous, l’audience, les gens.

Merci à janosizoltan, xdamman, zorrobiwan, damienvanachter pour leur feedback

Statut mis à jour sur tous ses réseaux sociaux en un coup

Voilà bien un problème de l’homo internetus : comment poster ce que l’on fait sur l’ensemble de ses réseaux sociaux sans y passer des heures ?

Comment dire que j’ai posté un article sur le sujet à mes « suiveurs » sur twitter, plurk, plaxo, linkedin, facebook et les autres ?

Une première option était de créer une chaîne complexe de resyndication de flux entre services, mais les redondances automatiques risquent d’être nombreuses.

Des services spécifiques voient donc le jour. Deux solutions que j’expérimente hellotxt.com et ping.fm permettent de poster à la volée sur un kyrielle de sites.

Reste à trouver un client pour lire toutes les réactions de ceux que l’on suit à un seul endroit et là c’est pas encore folichon folichon.

Plurk, c’est twitter en mieux

Plurk monsterUn service comme twitter a prouvé son utilité, son attractivité. Mêler instant messaging, live blogging et diffusion web (syndication, SEO, etc…) attire des cohortes de geek.

Seul hic, twitter n’a pas été pensé pour l’usage qu’en ont les utilisateurs. D’un système de microblogging nous avons fait un service de messaging. Patatra le service est particulièrement instable, les features orientés messaging (gestion de groupe, organisation des réponses en fil de discussion) n’apparaissent pas vite.Plurk monster

Il y a donc une place pour un mieux. Plurk joue une carte intéressante dans ce marché, loin des copies, il arrive suffisamment tard et avec le recul nécessaire pour intégrer dès le début tout les éléments qui font le succès de twitter (gestion du microformat « @ ») plus les features tant attendus.

Plurk monsterSur Plurk on peut gérer ses amis en clique, l’interface est multilingue, on peut poster une réponse à un message et ainsi créer un fil de discussion, on peut poster des vidéos et des images venues d’autres services, on peut voir les updates depuis son dernier passage, la gestion de l’accès à ses messages ou données perso est paramétrable…

Je suis très très client de cette manière de twitter plurker. Vous pouvez me trouver sur Plurk à l’adresse suivante http://www.plurk.com/user/quinze

BHV & twitter, j’en parlais hier…

… la RTBF en fait un sujet aujourd’hui…

En prenant un mètre de recul par rapport à l’événement, il serait bon d’analyser pourquoi une part de l’audience avait pris le parti de ne pas médiatiser sa compréhension de l’événement?

A savoir se coltiner l’édition spéciale du JT de RTL-Tvi ou l’émission spéciale de la Première, contre le streaming de la chambre et les commentaires de pairs. Choisir plutôt que les interrogations pas plus, pas moins documentées que celles des pros (que va-t-il se passer ? comment ça tourne ?), la zwanze, les coups de gueules, ou les exclamations de ses concitoyens.

Pour ma part je l’ai fait car cela me donnait l’avantage de ne pas choisir de camp linguistique (le flamand twitte aussi sur le même site, les journalistes pas). Le média social instantané, le dialogue citoyen sur l’événement en marche, est une nouveauté qui a révélé le besoin de plus d’interactivité encore entre les témoins d’un événement, le plaisir de l’effet de groupe, fut-il virtuel. Voir qui réagit, qui postule telle ou telle chose, qui pense quoi ou comme moi…

Le hic pour les médias est évidemment d’ajouter de la valeur à un événement qui se déroule en direct, n’est pas soumis à des droits de retransmission et est accessible à tous en direct, à l’heure où le commentaire est si facilement partageable.

La radio ou le journal qui livebloguent, les solutions mises en place par Mateusz Kukulka & Damien Van Achter, si elles permettent de fixer les témoins sur des pages précises, ne donnent malgré tout pas l’ensemble de l’info à un seul endroit. De plus les journalistes restent prisonniers de leur média premier. Ils avaient sûrement à produire, modérer, faire autre chose qu’ajouter de l’info tout au long du jour. Peuvent-ils nous éclairer ?

RTL avec les images et son spécialiste n’a pu fédérer la communauté et n’a suscité l’intérêt que durant le temps d’antenne. Le dispositif n’a pas été maintenu au delà de l’adoption de l’ordre du jour. La RTBF en jouant la carte radio pouvait déborder à loisir consacrer le temps d’antenne, mais la mise en onde souffrait du nombre d’intervenant (parlementaire, traducteur, commentateur = brouhaha). Images brutes plus twitter (ou liveblogging si on aime se faire modérer) semblent être la solution la plus complète.

Il faudrait juste militer pour pouvoir « embeder » le player vidéo de la chambre.